Romance

Publié le par Emilie Perin

Coucou

Je suis en train de rectifier ma romance en y ajoutant divers passages que je trouve essentiel et que je n'avais pas intégré.

J’écris ceux-ci en me lassant bercer par crasy in love instrumental.

Une musique qui nous fait chavirer le coeur en tout point avec ses notes qui se distinguent chacune leur tour. Je dirais que je suis sous le charme de ce fond de musique! L'écouter en boucle ne me dérange pas, loin de là!

Biz

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Cette partie n'est pas très romantique, mais en amour, il y a toujours un point de vue d'autre personne jaloux!

" Elle se lève et me rejoint, s’arrête juste devant moi, les mains sur les hanches. Je lui souris, mal à l’aise d’être aussi proche d’elle alors que je ne la connais pas.

— Écoute-moi bien petit merdeux, je t’ai très bien cerné, les gars comme toi je les sens à cent mètres, si t’as l’intention de faire du mal à ma copine, t’es foutu !

— Tu n’as pas à t’inquiéter pour ça ! Et puis, ta copine est grande pour se défendre toute seule.

— Je le sais bien, mais une pression de plus sur tes épaules, te fera peut-être reculer plus vite ! Je sais que tu es attiré par elle au vu de comment tu la regardes, d’ailleurs, tout le monde l’est, mais si tu ne joues le jeu du correct avec elle, je te casse.

— Comment pourrais-tu me cerner, tu ne me connais pas. C’est la première fois que l’on se voit et par malchance pour toi, je pense que ce ne sera pas la dernière. Alors fais gaffe à ce que tu dis !

— Tu m’as juste l’air d’être un gars qui baise à tout-va ! C’est juste ça que je cerne !

— Tout ça parce que je ne veux pas de toi ?

— Non ! C’est ce que tu fais ressortir de toi, ton apparence !

— Écoute-moi bien, j'suis passé par mille et un sentiment avant de pouvoir me retrouver là, alors n’essaie pas de me rabaisser comme tu fais ! Lui dis-je la mâchoire serrée.

Je m’approche d’elle, elle recule à petit pas jusqu’à temps que la table l’empêche de continuer. Ses mains posaient en arrive sur celle-ci pour ne pas tomber, je me penche un peu plus au-dessus d’elle, je sais que je l’intimide plus qu’il ne le faudrait.

— Tu ne me connais pas, tu ne sais pas ce que j’ai vécu, tu ne sais pas ce que j’endure en ce moment même !

Sa respiration s’accélère, devient intense, une sueur froide tombe sur le côté de son visage. Je continue :

— Tu es incapable de savoir ce que j’envie, ce qu’elle envie, des émotions que nous vivons, alors ne me fait pas la morale et mêle-toi de ton cul.

Un bruit de clef résonne dans la serrure, je me recule d’elle et finis mon verre. Noémie, crie qu’elle est rentrée avec les pizzas, je fonce littéralement vers l’entrée, enfiler une paire de chaussures et mon manteau, elle me demande pourquoi je ne reste pas et sans piper mot, je sors en claquant la porte.

Pour une soirée qui normalement devait bien se passer, tout a foiré. Pourquoi croit-elle que je suis comme ça ? Pourquoi croit-elle que je suis ce genre de monstre, qu’elle côtoie !? C’est vrai, j’ai certaine envie qui peuvent paraître obscène, mais… Je suis un homme bien !

Me dirigeant vers le cimetière à grand pas, quand j’arrive devant la tombe de mes parents, je m’assois devant, jambes repliées contre mon torse. Je les entoure de mes bras et je pleure… comme… autrefois".

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